Nourrir de la bonne façon pour des vrais oeufs nutritifs! / Feed the right way for real nutritional eggs!

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On vend des larves de mouche soldat noir! ( BSFL)

We sell black soldier fly larvea! ( BSFL)

Nous développons une expertise dans la fabrication d’une nourriture santé et de qualité pour les poules pondeuses et ainsi aider les gens à obtenir des œufs sans maïs, sans soya, et sans blé. Les poules bien nourrie produisent des oeufs remplis d’omega 3, d’iode, de vrais gras et de protéines complètes. Nous utilisons des larves BSFL comme source première de protéines.

Nous offrons des BSFL déshydratées de haute qualité qui viennent de Colombie-Britanique .

LARVE DE MOUCHESOLDAT NOIR / BLACK SOLDIER FLY LARVEA (BSFL)

BSFL : 20$ /Kg ou 35$/2Kg

BSFL séchés et prêt à l’utilisation!

Nous avons de grande quantité de BSFL séchées de haute qualité avec lesquelles vous pouvez faire vous-même vos propres recettes nutritives et santé pour vos animaux.

Contactez Inuk Thériault jardinpetitouest@gmail.com 1-418-809-7867

Avec de la bonne nourriture pour vos poules, vous obtenez des œufs de qualités supérieurs! Ils seront absolument bénéfiques pour votre santé. Les poules bien nourries fabriquent des œufs remplis de minéraux et de vitamines. Les coquilles sont dures car le calcium nécessaire est présent! Le jaune est foncé, ce qui démontre la densité de nutriments! Les poules sont en santé et ainsi les œufs!

Les grains conventionnelles utilisés dans la nourritures de pontes industrielles comme le maïs, le soya, ou le blé, sont OGM. Ils sont aussi remplis de pesticides, herbicides, gluten, lectines, et antibiotique, absolument néfaste pour votre santé. Vous épargnerez à votre corps bien des soucis de choisir une autres solutions pour nourrir vos poules pondeuses.

On veut de vrais bons oeufs qui contiennent les vrais bonnes propriétés nutritionnelles des oeufs!

Une poule a besoin de manger de l’herbes, des bébittes, des restants de fermes, de jardins et de tables.

Voici la composition des vrais œufs lorsque bien nourrie:

2 œufs, calibre moyen, 100 g

  • Calories:140
  • Protéines: 12,7 g
  • Glucides: 0,27 g
  • Lipides: 9,83 g, 100% des lipides se retrouvent dans le jaune
  • Fibres alimentaires 0,0 g

Voici la liste des micronutriments essentielles que contiennent les vrais oeufs lorsque les poules sont bien nourries:

  • Sélénium
  • Vitamine B2
  • Acide pantothénique aussi appelé vitamine B5
  • Acide folique aussi appelé vitamine B9
  • Vitamine B12
  • Zinc
  • Phosphore
  • Vitamine A
  • Vitamine D
  • Vitamine E

Voici la description de ces micronutriments et l’impact sur notre santé lorsqu’on consomme des oeufs de poules bien nourries:

Sélénium : l’œuf est une excellente source de sélénium. Ce minéral travaille avec l’une des principales enzymes antioxydantes, prévenant ainsi la formation de radicaux libres dans l’organisme. Il contribue aussi à convertir les hormones thyroïdiennes en leur forme active.

Vitamine B2 : l’œuf est une bonne source de vitamine B2. Cette vitamine est aussi connue sous le nom de riboflavine. Tout comme la vitamine B1, la riboflavine joue un rôle dans le métabolisme de l’énergie de toutes les cellules. De plus, elle contribue à la croissance et à la réparation des tissus, à la production d’hormones et à la formation des globules rouges. La majeure partie de la riboflavine se retrouve dans le blanc d’œuf .

Vitamine B12 : l’œuf est une bonne source de vitamine B12. Cette vitamine travaille de concert avec l’acide folique (vitamine B9) pour la fabrication des globules rouges dans le sang. Elle veille aussi à l’entretien des cellules nerveuses et des cellules fabriquant le tissu osseux.

Phosphore : l’œuf est une source de phosphore. Le phosphore constitue le deuxième minéral le plus abondant de l’organisme après le calcium. Il joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. De plus, il participe entre autres à la croissance et à la régénérescence des tissus et aide à maintenir à la normale le pH du sang. Finalement, le phosphore est l’un des constituants des membranes cellulaires.

Zinc : l’œuf est une source de zinc. Le zinc participe notamment aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation et au développement du fœtus. Le zinc interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes, et participe, dans le pancréas, à la fabrication, à la mise en réserve et à la libération de l’insuline.

Acide pantothénique : l’œuf est une source d’acide pantothénique, aussi appelé vitamine B5. L’acide pantothénique fait partie d’une coenzyme clé nous permettant d’utiliser de façon adéquate l’énergie présente dans les aliments que nous consommons. Il participe aussi à plusieurs étapes de la fabrication des hormones stéroïdiennes, des neurotransmetteurs et de l’hémoglobine.


Acide folique : l’œuf est une source d’acide folique. L’acide folique aussi appelé vitamine B9, participe à la fabrication de toutes les cellules du corps, dont les globules rouges. Cette vitamine joue un rôle essentiel dans la production du matériel génétique ADN et ARN, dans le fonctionnement du système nerveux et du système immunitaire, ainsi que dans la cicatrisation des blessures et des plaies. Comme elle est nécessaire à la production des nouvelles cellules, une consommation adéquate est primordiale durant les périodes de croissance et pour le développement du fœtus.

Vitamine A : l’œuf est une source de vitamine A. Cette vitamine est l’une des plus polyvalentes, jouant un rôle dans plusieurs fonctions de l’organisme. Elle favorise, entre autres, la croissance des os et des dents. Elle maintient la peau en santé et protège contre les infections. De plus, elle joue un rôle antioxydant et favorise une bonne vision, particulièrement dans l’obscurité. La majeure partie de la vitamine A se retrouve dans le jaune d’œuf.

Vitamine D : l’œuf est une source de vitamine D. La vitamine D interagit étroitement dans la santé des os et des dents, en rendant disponibles le calcium et le phosphore dans le sang, entre autres pour la croissance de la structure osseuse. La vitamine D joue aussi un rôle dans la maturation des cellules, dont celles du système immunitaire. La majeure partie de la vitamine D se retrouve dans le jaune d’œuf.

Vitamine E : l’œuf est une source de vitamine E. Antioxydant majeur, la vitamine E protège la membrane qui entoure les cellules du corps, en particulier les globules rouges du sang et les globules blancs du système immunitaire.

Un profil protéique parfait
L’oeuf est composé de protéines de haute valeur biologique. Les protéines servent surtout à former, à réparer et à maintenir en bon état les tissus, comme la peau, les muscles et les os. Elles servent aussi à la formation des enzymes digestives et des hormones. Les protéines contenues dans l’oeuf sont dites complètes, car elles renferment les neuf acides aminés essentiels à l’organisme, et ce, dans des proportions optimales.

Teneur en caroténoïdes
Le jaune d’oeuf contient deux puissants antioxydants issus de la famille des caroténoïdes : la lutéine et la zéaxanthine. D’ailleurs, ces deux composés confèrent la couleur au jaune de l’oeuf. Les caroténoïdes, substances voisines de la vitamine A, sont des antioxydants reconnus pour aider à prévenir les maladies reliées au vieillissement.

Source de choline
L’oeuf est une excellente source de choline, un composé qui joue un rôle important dans le développement et le fonctionnement du cerveau, principalement au niveau du centre de la mémoire. La choline se retrouve principalement dans la partie jaune de l’œuf. Les besoins en choline sont importants durant le développement embryonnaire. Une étude montre qu’une alimentation riche en choline durant le développement embryonnaire ou immédiatement après la naissance, améliorerait les fonctions cognitives et, par le fait même, l’attention et la mémoire.

L’oeuf est nourrissant, polyvalent et il offre une excellente valeur nutritive lorsqu’il vient de poules bien nourries!

Voici d’autre PDF intéressant pour votre jardinage!

PERMACULTURE

CONSERVATION DES RÉCOLTES

HERBES FINES

TISANES

FAMILLE

JARDINS

Qu’est-ce que l’agriculture biologique?

L’agriculture biologique se décrit, au Canada et en France, comme une agricul-ture (1) n’ayant jamais recours aux pesticides (herbicides, insecticides ou fongicides) ni aux engrais chimiques, (2) n’utilisant jamais de semences OGM (organismes génétiquement modifiés) et irradiées et (3) favorisant la rotation des cultures et le respect de la biodiversité.

Quel est le but de l’agriculture biologique?

Son but est de favoriser la santé des agrosystèmes, préserver et accroître la fertilité des sols à long terme, permettre la conservation des ressources et éviter les infestations et la propagation de maladies tout en tenant compte des considérations sociales et économiques.

Dans l’agriculture industrielle, qu’ajoute-t-on systématiquement dans l’alimentation des animaux d’élevage?

L’agriculture biologique a fait ses premiers pas en réponse à l’industrialisation de l’agriculture favorisée par l’apparition des engrais, des herbicides et des pesti-cides de synthèse, produits par l’industrie pétrochimique qui était alors en plein es-sor. Partout dans le monde, les agriculteurs adoptaient les nouvelles pratiques, la productivité augmentait, les marchés se mondialisaient. En même temps, les gens se sont mis à manger davantage de viande et de sous-produits animaux. Pour répondre à la demande, les producteurs ont créé des élevages en batteries, c’est-à-dire qu’on a logé les animaux, en grand nombre, dans des cages, le plus souvent hors sol. Cela a mené à des cultures intensives de maïs et de soya destinées à engraisser le bétail et à un usage massif de facteurs de croissance (hormones de synthèse, antibiotiques, etc.) intégrés systématiquement à la ration alimentaire des animaux d’élevage.

À la fin des années 1960, on a commencé à s’inquiéter des possibles effets néfastes de ces pratiques sur l’environnement et sur la santé des humains. Des agriculteurs et des agronomes se sont donc demandés comment cultiver autrement.
Après des débuts timides, l’agriculture biologique a connu une évolution accélérée dans les années 1990 et au cours des dix dernières années, les ventes des produits biologiques ont été multipliées par dix. Cette progression a été favorisée par quelques crises qui ont successivement secoué le monde agricole, soit : fièvre aphteuse, maladie de la vache folle, grippe aviaire, apparition de bactéries résistantes aux antibiotiques, etc. Les gens ont commencé à vouloir en savoir plus sur les aliments consommés quotidiennement, s’intéressant ainsi aux modes de production des denrées agricoles, ce qui les a menés à consommer bio.

Est-ce que les termes « écologique », « équitable », « naturel » et autres de la même veine apposés sur un emballage alimentaire sont suffisants pour affirmer qu’un aliment a été produit selon les normes de l’agriculture biologique?

Non c’est trois mot ne veulent rien dire. Seul un aliment dûment certifié par un organisme agréé peut arborer l’appellation « biologique ».

Qu’assure le processus de certification biologique?

Le processus de certification assure une complète traçabilité des aliments, de la fourche du fermier à la fourchette du consommateur, incluant la production, le transport, l’entreposage, la manutention et la transformation. À chaque étape, les intervenants sont tenus de respecter un cahier de charges très détaillé pour que soit accordée l’appellation « biologique ».

Qui est chargé d’octroyer la certification biologique?

Par exemple, au Québec, l’appellation « biologique » fait partie des appellations réservées et est gérée par le Conseil des appellations réservées et des termes valorisants (CARTV), la seule autorité provinciale compétente en matière de certification biologique. Le CARTV est responsable de la gestion et de la protection des appellations réservées au Québec pour les produits agricoles et alimentaires.

Le CARTV a accrédité des organismes certificateurs chargés d’attribuer les certifications au Québec:

Dans le reste du Canada, s’ajoutent à cette 11 organismes additionnels. Tous ces organismes de certification pancanadiens sont accrédités par l’Agence Canadienne d’inspection des aliments (ACIA) et ils répondent aux critères du CARTV.

Pour tous les producteurs agricoles désirant obtenir la certification biologique, il y a trois étapes à respecter, soit la démarche de précertification, la précertification et la certification.

Pour quelles raisons devrions-nous manger davantage bio?

Pour le respect de l’environnement, pour la qualité nutritionnelle et pour le gout!

En cultivant avec des pesticides et des engrais chimique, à long terme, on détruit la vie du sol.    C’est pesticide et engrais chimique se retrouvent dispersés en pollution dans l’environnement (air, eau, terre).

Les aliments biologiques sont plus riches en vitamine C (+27%), en fer (+21%), en magnésium (+29%) et en phosphore (+13%) et moins riches en nitrates (-15%). Aussi, plusieurs études ont également noté un contenu moins élevés en métaux (aluminium, mercure, cadmium, plomb, etc.), plus élevé en plusieurs oligo-éléments (iode, sélénium, molybdène, chrome, etc.) et plus élevé en plusieurs phytoprotecteurs.

Les humains comsommateurs de produits non-bio sont exposé jusqu’à 70 fois par jour à des résidus de pesticides persistants présents dans les aliments. On a relevé un taux mesurable de pesticides organophosphorés, des polluants persistants, dans l’urine de 109 des 110 enfants de 2 à 5 ans testés. L’enfant chez qui on en n’a pas trouvé vivait dans une famille qui n’achetait que des aliments bios et où on n’utilisait jamais de pesticides domestiques à la maison.

Les fruits et les légumes biologiques renferment généralement moins d’eau que ceux qui ont été cultivés à l’aide d’engrais chimiques, ce qui leur donne une saveur plus concentrée. Aussi, les végétaux bios contiennent davantage de flavonoïdes, composés naturels bénéfiques à la santé humaine, qui sont en partie responsables du goût des aliments. Finalement, les produits biologiques sont souvent plus frais que les autres et la fraîcheur est un élément primordial qui influence la saveur des aliments.

Pourquoi dit-on que les enfants sont les plus grands perdants de l’agriculture industrielle?

Les enfants sont les plus grands perdants de l’agriculture industrielle car (1) les pesticides sont encore plus dangereux en période de croissance, (2) les enfants sont au sommet de la pyramide des contaminants puisqu’ils mangent 4 fois plus que les adultes (proportionnellement à leur poids) et (3) de nos jours, ils sont exposés à une abondance de pesticides dès leur conception. Il est à noter que les normes jugées acceptables par les instances sanitaires sont principalement établies en fonction des effets potentiels sur la santé d’un adulte moyen et non celle d’un enfant.

Les animaux d’élevage industriel sont nourris systématiquement avec des aliments auxquels sont ajoutées diverses substances telles des hormones, des antibiotiques, des farines animales, etc. Selon les scientifiques, quelles en sont les conséquences possibles sur l’être humain?

Les hormones de croissance se retrouvent ainsi dans la chaîne alimentaire et les effets de leur accumulation dans l’organisme humain sont un sujet d’inquiétude importante. Plusieurs maladies y sont rattaché. Les animaux herbivores nourrie à la farine animal deviennent malade et les humains deviennent malade en les mangeants.

Quelles sont les règles de base de l’élevage biologique?

Ne pas utiliser d’antibiotiques à des fins préventives. En cas de maladie, la mise en quarantaine est à privilégier;

Ne pas utiliser d’hormones de croissance ni de farine animale, que l’alimentation des animaux soit biologique, sans pesticide, herbicide, ni OGM);

Ne pas surpeupler les enclos, garantir suffisamment d’air frais, d’espace et de lumière à chaque bête.

Oeufs contaminés : “Il faut repenser notre modèle d’élevage”

Contaminé au antibiotique , au pesticide, au herbicide, au ogm, et au hormones de croissance.

Le maîs et le soya étant les plus modifiés génétiquement et aussi arrosés d’herbicide.

Le fipronil, qui est un insecticide, a été utilisé pour lutter contre le pou rouge dans les poulaillers de poules pondeuses. Pour lutter contre ces infections, les gros producteurs ont également recours aux antibiotiques de manière quasi systématique. Aujourd’hui, dans certains élevages, on injecte même des doses d’antibiotiques in ovo, c’est-à-dire dès l’œuf, en prévention de maladies qui se développent dans ces batteries.

Aucun des organismes de certification biologique n’accepte le principe de la transgénèse OGM. Tous interdisent aux agriculteurs de cultiver des plantes transgéniques ou de nourrir les animaux avec de telles plantes.

“Le principal défi qui nous attend, c’est de réussir une l’élevage à la hauteur de nos connaissances actuelles! “

Offrir de la liberté de mouvement

et du soleil

et de l’herbage et du gazon vert en masse!

20% de grain bio ecocert comme cela

20% de restant de table compostable

20% de BSFL larve de mouche noir déshydrater

40% de vert herbage

Nourrir de la bonne façon pour des vrais oeufs nutritifs! / Feed the right way for real nutritional eggs!

Contactez: Inuk Thériault, jardinpetitouest@gmail.com, 1-418-809-7867